Donald J Trump est la création pure de la CIA

Donald J Trump est la création pure de la CIA

  • C’est de là, la refonte en Trump II du FBI qui l’a hélas poursuivi sans succès

Acteur né de ses ambitions de tout yankee de l’époque, mais peu ordinaires parmi les rangs de la nébuleuse, ce citoyen est le citoyen idéal pour la carrière de rêve sans reddition ni justiciable. C’est le coût mesuré du prix à payer pour la grande Amérique arriviste fautive de ses pouvoirs croissants nés de la Couronne Britannique, empire désuet fatigué. Elle se retrouve désormais à l’image de son opposé qui a juré de la préserver afin de l’abattre, elle-même.

C’est à cette image que l’URSS, en l’occurrence, va, comme unique comparaison de l’ère, signer la chute de son génie [même effet létal repoussé aux É.-U.]. Donald J. Trump est en ce temps-là le jeune loup de l’immobilier à New York. Là, il se permet, dans cette ville qui ne dort jamais, mais rêve à sa grandeur. La grandeur rêvée du citoyen Donald J. Trump. L’option est la CIA. Elle lui va comme un gant. Il joue au jeu des extravertis tant aimés du monde connu. Ainsi est né le joker. Il n’obtempère pas, et s’infiltre de partout. Il infiltre, au résultat, l’avenir en réserve, au cas où. C’est ce que nous vivons en cette ère de déchéance par l’effet du vide qui ressembla à une confiance en soi pour le système qui vit du racket comme génie de son ingénierie. Sans avoir mis de côté, nature humaine oblige. Un poison, la faiblesse de l’autre d’abord. Intelligence née de l’instinct de survie. Puis au Canada, égocentrique, Justin Trudeau va lui offrir de son théâtre démodé, l’élément du rêve à même la bêtise. Il va le visiter en toute incommodité, Donald J. Trump, fort de ses pratiques au poker modélisé d’Howard Hughes (TWA-Las Vegas, CIA), perçoit la pépite d’or qui brille.

La seule option de Donald J. Trump comme président des suites de Joseph R. Biden a posteriori sans pouvoir de sénateur, de vice-président ni de président, le Yankee en lui ne va surtout pas se gêner pour le rêve jamais rêvé, mais tant aimé de l’Amérique qui l’a choisi au 2/3 des 3/3 des anges du trône. Peur chez le voisin moqueur !

La question nuit partout à travers le monde sur la présence de la CIA dans les pays étrangers. Son rôle dans tel ou tel pays. Ce n’est pas une fable puisque les scandales de la NSA ne laissent aucun doute. Les affaires qui ont mené le citoyen Assange en sessions infernales, même à l’ambassade d’un État d’envoi chez un pays hôte, autre que les États-Unis, à Londres. Il y a eu aussi les relations telles que : B Manning qui s’est fait transformer afin de négocier, le mouchard depuis Trump-I jusqu’à Biden le sleepy joe. Nixon du Watergate. Reagan des Contras, l’Iran Gate. Le dossier pervers canadien du mineur livré à Guantanamo, en la personne d’Omar Khadr. Bref, il est fort aisé de réaliser que si la Russie fait l’objet d’espionnage au même titre que la chancelière Merkel ou le président français, en autres chefs d’État étrangers, ce n’est pas le Canada qui partage NORAD d’abord, OTAN, nord d’Amérique du Nord dont l’ALENA, qui ne sera pas pisté de cette dite centrale d’intelligence américaine, avec permis de tuer sans compte à rendre, si loin que ceux de la STASI, de la Gestapo, etc. C’est de l’angélisme à deux sous. Il faut se rappeler aussi de ces relations intenses au Québec qui tente à moult reprises de se séparer du reste du Canada. Expression francophone du président De Gaulle, à l’Hôtel de ville de Montréal. Ses relations avec d’autres constellations, ses amours de Catalogne, en Espagne. Une faiblesse due à un Québec assis entre accommodement raisonnable et révolution tranquille. Que dire du Chili de Pinochet, greffons à l’ombre du Yankee, la liste va tout de go. Finissons-en avec le dossier D Rodman auprès de Kim de la Corée du Nord, tandis que Trump-I a carrément viré le basketteur de ses visites. Le voir lui-même à cause d’un incident à l’OACI, en 2017. Le Canada est sous étroite vigilance de la CIA, par ces cas annexés, et dont le pétrole, sa livraison. L’énergie atomique.

Dès lors que le propos est déposé dans les RI, contexte où le président français lui-même, au prorata de ses relations bilatérales discourtoises, a décrié l’Amérique tant de fois depuis au moins la Conférence des ambassadeurs en août 2017. Il est donc patent que le retour renforcé de Donald J. Trump à titre de chef de la Maison-Blanche, ne peut être le fruit du hasard à l’allure de la tombola. C’est un cadre de recadrage, de référencer le comportement autrement, d’agents nouveaux. Même s’il a joué plus qu’un quinté où des étalons connus là où Epstein a fait de la prison, laissé au coroner. L’amie Maxwell, incarcérée, jeu qui a été sinon vue de la Couronne de la GB.

Ce ne sont pas les journalistes frénétiques anti-Trump qui vont changer le cap en délire, déjà le globe vibre autrement, au nez des Américains mis en échec.

Désormais, c’est le bras nébuleux invisible qui gère la refonte, même si des sacrifices sont nécessaires pour recalibrer. Comme on l’a fait d’ailleurs à Moscou. Plus d’un dossier iront éloquemment polluer la vue afin de faire diversion. Ottawa se commet hélas, bévue sous-estimant le besoin réel de la présidence américaine qui bénéficie d’une nouvelle forme d’ingénierie menée à l’encontre du toxicomane qui infligeait, pour une raison obscure d’ailleurs, des faux artifices moins utiles qu’embarrassants à la machine politique américaine.

Ce ne sont pas là des positions éditoriales partisanes, contre le Canada

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Collaboration spéciale IDC, IDWG, Le Matin Canada, Le Paris-Diplomatique, Haïti-Observateur

Le Paris diplomatique / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN en cours (Imprimé)